VALSE DE L'OLIVIER
Jean Michel Corgeron
C'est par la guitare (accompagnement de chansons) que Jean-Michel commence la musique en 1973.
Etude en autodidacte de différents instruments (banjo 5 cordes, psaltérion à archet, hammer dulcimer) pour arriver en 1982 à son instrument de prédilection, l'accordéon diatonique
En 1983, il crée avec Vincent de Greef le groupe Dulceline (duo dulcimer-violon, formation qui s’agrandira par la suite avec la venue de Patrick Chorlet, et de Béatrice et François Laurent). En 1996, Jean-Michel et Vincent créent le groupe Bouffée d’Airs avec Cécile Beauvoir et François Cousin. La même équipe fonde le groupe Ballet de Sorcières dès 1997, formule de bal pour les enfants (et les parents...) avec Christine Corgeron et Henri Freyd. En 2002, Jean-Michel et Vincent retrouveront avec plaisir la formule du duo sous le nom de Dialto (diato-alto).
Quelque soit l'instrument pratiqué, la tablature a toujours été pour Jean-Michel un moyen simple pour comprendre et apprendre un instrument et pour en codifier le répertoire. C'est donc tout naturellement qu'il a conçu dès 1982 le système de tablature pour accordéon diatonique utilisé aujourd'hui par de nombreux amateurs du Tiré-Poussé.
Source: Site www.franchesconnexions.com
BELLA CIAO
Bella ciao est une chanson italienne qui célèbre l’engagement dans le combat mené par les partisans de la seconde Guerre mondiale contre les troupes allemandes de la République sociale italienne durant la Guerre civile. Les paroles ont été écrites fin 1944 sur la musique d'une chanson populaire que chantaient au début du XXème siècle, les mondines, ces saisonnières qui désherbaient les rizières de la plaine du Pô et repiquaient le riz, pour dénoncer leurs conditions de travail. Elle est chantée depuis 1963 dans le monde entier comme un hymne à la résistance.
Version originale des mondines
Alla mattina appena alzata
O bella ciao bella ciao bella ciao, ciao, ciao
Alla mattina appena alzata
In risaia mi tocca andar
E fra gli insetti e le zanzare
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
E fra gli insetti e le zanzare
Un dur lavoro mi tocca far
Il capo in piedi col suo bastone
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Il capo in piedi col suo bastone
E noi curve a lavorar
O mamma mia o che tormento
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
O mamma mia o che tormento
Io t'invoco ogni doman
Ed ogni ora che qui passiamo
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Ed ogni ora che qui passiamo
Noi perdiam la gioventù
Ma verrà un giorno che tutte quante
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Ma verrà un giorno che tutte quante
Lavoreremo in libertà.
Traduction
Le matin, à peine levée
Bonjour belle, bonjour belle bonjour belle belle belle !
Le matin, à peine levée
À la rizière je dois aller
Et entre les insectes et les moustiques
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Et entre les insectes et les moustiques
Un dur labeur je dois faire
Le chef debout avec son bâton
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Le chef debout avec son bâton
Et nous courbées à travailler
O Bonne mère quel tourment
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
O Bonne mère quel tourment
Je t'invoque chaque jour
Et toutes les heures que nous passons ici
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Et toutes les heures que nous passons ici
Nous perdons notre jeunesse
Mais tu verras qu'un jour toutes autant que nous sommes
O bella ciao bella ciao bella ciao ciao ciao
Mais tu verras un jour où toutes autant que nous sommes
Nous travaillerons en liberté
Version adaptée des partisans
Una mattina mi sono alzato
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Una mattina mi sono alzato
E ho trovato l'invasor
O partigiano portami via
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
O partigiano portami via
Ché mi sento di morir
E se io muoio da partigiano
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
E se io muoio da partigiano
Tu mi devi seppellir
E seppellire lassù in montagna
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
E seppellire lassù in montagna
Sotto l'ombra di un bel fior
Tutte le genti che passeranno
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Tutte le genti che passeranno
Mi diranno: che bel fior
E quest'è il fiore del partigiano
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Quest'è il fiore del partigiano
Morto per la libertà
Traduction
Je me suis réveillé un matin,
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Je me suis réveillé un matin,
Et j'ai trouvé l'envahisseur.
Hé ! partisan emmène-moi
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Hé ! partisan emmène-moi,
Car je me sens mourir
Et si je meurs en partisan
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Et si je meurs en partisan,
Il faudra que tu m'enterres.
Que tu m'enterres sur la montagne
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Que tu m'enterres sur la montagne,
À l'ombre d'une belle fleur
Et les gens qui passeront
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
Et les gens qui passeront
Me diront « Quelle belle fleur »
C'est la fleur du partisan
O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao
C'est la fleur du partisan
Mort pour la liberté
Source: Wikipédia
NOUS AUSSI...
LA LIBERTE D'EXPRESSION N'A PAS DE PRIX.
QUE CE SOIT PAR LA PAROLE, LE DESSIN OU LA MUSIQUE,
DEFENDONS-LA!
Notre patissière du jour a pensé à CHARLIE en faisant la galette des rois pour DIATOMALO.Un grand merci.
FÊTE DES CONTES, MUSIQUES ET CHANTS TRADITIONNELS DES BORDS DE RANCE A PLOUËR
Le grand salon de la mairie de Plouër accueillait chanteurs, conteurs et musiciens. Les traditions orales et instrumentales du bord de Rance étaient mises à l'honneur cet après-midi-là. Le public, nombreux et chaleureux a apprécié la poésie et l'humour des artistes.
Les musiciens, très écoutés et applaudis, ont pu faire danser les participants en fin de soirée.
Diatomalo y était représenté par Catherine L, Marie Pierre, Gilles, Gégé et Jacques. Ce fut un très bon moment. Merci aux organisateurs de nous avoir invité.
DATES A RETENIR EN 2015
DIMANCHE 18 JANVIER: Participation à la fête de Plouer sur Rance "Contes, musique et chants traditionnels des bords de Rance"
ANIMATION DU MARCHE DE NOEL DE L'ECOLE DE ST BENOIT DES ONDES
Pas d'image pour notre prestation bien réussie nous semble-t-il au marché de Noël de l'école de St Benoit des Ondes.
Nous n'étions que trois musiciens, Gégé, Gilles et Jacques, mais nous avons tout donné, pour le plaisir des exposants et des visiteurs.
Pendant près de 2 heures, la musique traditionnelle bretonne a égayé ce beau marché.
Nous aurions plaisir à renouveler cette animation bien agréable l'année prochaine.
ANIMATION DU MARCHE DE NOËL DE LA RICHARDAIS
Matinée très fraîche, ciel menaçant mais pas assez pour nous décourager!
Bonne ambiance chez les musiciens mais grande discrétion chez les visiteurs...
Musique entraînante sur le traîneau du Père Noël....
GREENSLEEVES
Cliquez sur le triangle vert pour écouter la musique de cette partition
Morceau interprété par Patrick Cadeillan
Greensleeves est une chanson anglaise traditionnelle écrite en l'honneur d'une « dame aux manches vertes » (de green : « vert » et sleeve : « manche »). D'après une légende populaire, elle aurait été composée par le roi Henri VIII (1491-1547) en l'honneur d'Anne Boleyn (1501 ou 1507-1536). Elle est basée sur le passamezzo antico, une basse obstinée ou progression d'accords populaire pendant la Renaissance italienne et connu dans toute l'Europe au XVIe siècle.
Elle a probablement circulé sous forme de manuscrit, c'est-à-dire de « copie manuscrite », comme la plupart des musiques populaires de cette époque, bien avant d'être finalement imprimée. La première version reconnue est de 1580, sous le titre de A New Northern Ditty of the Lady Greene Sleeves, sans qu'aucune copie de cette impression n'ait survécu, si bien que l'on ne sait pas qui a composé ce morceau.
Version de 1584, rapportée par Francis James Child en 1860 (en anglais élisabéthain).
Alas, my love, ye do me wrong
To cast me oft discurteously,
And I have loved you so long,
Delighting in your companie.
(refrain)
Greensleeves was all my joy3,
Greensleeves was my delight,
Greensleeves was my heart of gold.
And who but Ladie Greensleeves.
I have been readie at your hand
To grant what ever you would crave ;
I have both waged life and land,
Your love and good will for to have.
Greensleeves was all my joy, etc.
I bought thee kerchers to thy head
That were wrought fine and gallantly ;
I kept thee both at boord and bed,
Which cost my purse well favouredly.
Greensleeves was all my joie3, etc.
I bought thee peticotes of the best,
The cloth so fine as fine might be ;
I gave thee jewels for thy chest,
And all this cost I spent on thee.
Greensleeves was all my joie, etc.
Thy smock of silke, both faire and white,
With gold embrodered gorgeously,
Thy peticote of sendall right,
And this I bought thee gladly.
Greensleeves was all my joie, etc.
Thy girdle of gold so red,
With pearles bedecked sumtuously,
The like no other lasses had,
And yet thou wouldest not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
Thy purse, and eke thy gay guilt knives,
Thy pincase, gallant to the eie,
No better wore the burgesse wives,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joy, etc.
Thy crimson stockings, all of silk,
With golde all wrought above the knee
Thy pumps, as white as was the milk,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joy, etc.
Thy gown was of the grassie green,
Thy sleeves of satten hanging by,
Which made thee be our harvest queen,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
Thy garters fringed with the golde,
And silver aglets hanging by,
Which made thee blithe for to beholde,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
My gayest gelding I thee gave,
To ride where ever liked thee,
No ladie ever was so brave,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
My men were clothed all in green,
And they did ever wait on thee ;
All this was gallant to be seen,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
They set thee up, they took thee downe,
They served thee with humilitie ;
Thy foote might not once touch the ground,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
For everie morning, when thou rose,
I sent thee dainties, orderly,
To cheare thy stomack from all woes,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
Thou couldst desire no earthly thing
But stil thou hadst it readily ;
Thy musicke still to play and sing,
And yet thou wouldst not love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
And who did pay for all this geare,
That thou didst spend when pleased thee ?
Even I that am rejected here,
And thou disdainst to love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
Wei, I wil pray to God on hie
That thou my constancie maist see,
And that yet once before I die
Thou will vouchsafe to love me.
Greensleeves was all my joie, etc.
Greensleeves, now farewel, adue !
God I pray to prosper thee,
For I am stil thy lover true ;
Come once againe, and love me !
Greensleeves was all my joie, etc.
Traduction libre
Hélas, mon amour, vous me maltraitez,
À me rejeter de façon si discourtoise,
Moi qui vous aime depuis si longtemps,
Qui me délecte en votre compagnie.
(refrain)
Vertes-Manches était toute ma joie,
Vertes-Manches était mon bonheur,
Vertes-Manches était mon cœur d'or,
Qui d'autre que Dame Vertes-Manches ?
Je vous étais entièrement soumis
Pour réaliser le moindre de vos caprices.
J'ai remué ciel et terre
Pour m'assurer votre amour et votre bienveillance.
Je t'ai offert des foulards pour ta tête
Qui étaient superbement et galamment brodés.
Je t'ai prise tant au bourdeau qu'au lit
Et ma bourse s'en est trouvée bien dégarnie.
Je t'ai acheté des jupons de la meilleure qualité,
Les habits les plus élégants qui soient.
Je t'ai donné des bijoux pour orner ton devantier,
Et tout ces frais je les ai faits pour toi.
Ta blouse de soie, à la fois belle et blanche,
Et superbement brodée de fils d'or,
Ta jupe de lourde soie,
Je t'ai acheté tout cela de bon cœur.
Ta ceinture d'or si rouge,
Somptueusement ornée de perles,
Aucune autre fille n'a la même
Et pourtant tu n'as pas voulu m'aimer.
Ta bourse et aussi tes couteaux bien affutés,
Ta boite à épingles, si élégante à l'œil,
Les épouses des bourgeois n'en ont pas de meilleures,
Et pourtant tu n'as pas voulu m'aimer.
Tes bas cramoisis, tout en soie,
Avec leur jarretière en or,
Tes chaussures, blanches comme le lait,
Et pourtant tu n'as pas voulu m'aimer.
Ta robe était du vert de l'herbe,
Tes manches de satin y étaient fixées,
Qui faisaient de toi notre reine des moissons,
Et pourtant tu n'as pas voulu m'aimer.
source: wikipédia
SCOTTISH DE PENHOUET
Cliquez sur le triangle vert pour écouter la musique de cette partition
Morceau composé par Michel Marre et interprété par Patrick Cadeillan
Michel Marre
Michel Marre né en 1946 est un trompettiste, bugliste et tubiste de jazz , un compositeur et un réalisateur français. Il joue également de l'euphonium. (wikipédia)
Compagnon de route de Mal Waldron, Henri Texier, Archie Shepp, François Tusques, Marre multiplie depuis les années 90 les résidences en France et à l 'étranger. Lauréat Médicis en 98 pour sa création " Gavachs " avec les musiciens du Rajasthan, lauréat en Roumanie pour sa création "Mamaliga blues" en 2003, mais aussi "Sardanajazz" Grand Orchestre avec la Cobla Milénaria, Harmonie-Galoubets et solistes à Bollène, "Silk Road" en Asie centrale, "Trobar" avec Jean Marie Carlotti... Parallèlement à ces créations, il participe aux projets de J.M. Padovani, Lester Bowie, Sophia Domancich, Serje Lazarevitch, Gérard Pansanel, Didier Levallet, Marc Ducret, Daniel Humair, Doudou Gouirand, Clifford Jarvis, Compagnie de Danse Jackie Taffanel, et plus récemment de l'Orchestre National de Jazz, direction Franck Tortiller, pour 3 ans.
Après des études de piano classique Michel Marre découvre le jazz à l'âge de 18 ans et rentre dans un orchestre de New Orléans, les "Hot Peppers" de Michel Bastide. Il se familiarise avec les répertoires de King Oliver, Louis Armstrong, Duke Ellington, Fletcher Anderson... Puis il part en Afrique de l'Est et du Nord pour trois années. Véritable révélation des musiques Africaines et du Free Jazz : on le retrouve aux cotés de musiciens Américains au Festival de Carthage. Il rentre en 74 en France et rencontre François Tusques dans l’intercommunal Free Dance Music Orchestra, et crée le groupe mythique “Cossi Anatz”. Dès les années 80, il commence à écrire pour de grands orchestres en mélangeant les genres : musique Bretonne avec le Bagad de Quimperlé et 400 musiciens, musique du Poitou avec Harmonie et Musiciens Trad. Harmonie de Lozère, de Bollène avec des Galoubets. En Résidence en Russie avec le Grand Orchestre de Novosibirsk, à Bucarest avec un Big Band et des Musiciens Tziganes, et au Kirghistan avec l'Ensemble National Kirghise, il écrit pour une Harmonie Européenne et des grands Orchestres de Jazz, mais aussi participe à la création de Frank Tortiller “Oratorio Mandingue” ou encore joue avec la chanteuse Rachel Ratsizafy, et enregistre des standards avec Alain Jean-Marie “I Remember Clifford“ label Hative.
Il a enregistré avec
Source: Site internet de Michel Marre
www.michelmarre.fr
Penhouet est un lieu dit de la commune de Loyat dans le Morbihan
Penhouet est un toponyme breton formé des racines penn (= pointe, extrémité) et koad (= bois).